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Morgane chérie …
La place du village était vide de monde à cette heure avancée de la nuit et rares étaient les passants.
De toute manière, l’excitation était telle que Morgane ne se préoccupait pas de ces détails, toute son attention se portant exclusivement sur l’homme qu’elle avait à côté d’elle et qui commençait à la déshabiller tendrement, là, en pleine rue, sous la faible lumière du vieux lampadaire.
La moiteur de cette nuit d’été faisait qu’elle ne portait presque rien et elle savait que sa peau allait rapidement être en contact du petit vent qui chatouillait sa peau. En fait, elle ne portait vraiment rien sous sa robe, il allait vite sans apercevoir et les passants également pensa t-elle toute excitée…
Pierre connaissait bien Morgane, même s’ils ne se voyaient que rarement. Il devinait ce qu’elle attendait de lui, anticipant ses désirs et les petits fantasmes qu’elle cultivait dans ses nuits solitaires.
Après l’avoir embrassée longuement, il entreprit de descendre ses mains le long du corps de Morgane. Il s’arrêta toutefois un long instant sur la pointe de ses seins qui ne demandaient qu’à être pris, à être gentillement torturés puis à être câlinés, ce qu’il fit.
Puis alors seulement, l’une de ses mains partit s’égarer sur le bas de son corps, là où les jambes se séparent, là où coule une fontaine de plaisir, là où la jouissance peut devenir extrême et douloureuse à force d’être si forte, si présente.
Sans plus se préoccuper de l’endroit où ils se trouvaient, Pierre remonta la fine robe de Morgane qui ne dit rien et n’exprima qu’un seul râle de plaisir lorsque la robe tomba à terre devant elle.
Elle était désormais là, entièrement nue, offerte à Pierre qui admirait ce corps magique, ses seins, petits mais terriblement séduisants, cet entre-jambe dépourvu de poils qui laissait voir l’entièreté de son intimité, les lueurs de son plaisir qui coulaient le long de son sexe dans l’attente d’une relation plus forte, dans l’attente d’être prise d’une manière ou d’une autre, là devant tout le monde, devant tous ceux qui pourraient passer et la voir…
Pierre connaissait Morgane... Il connaissait ses désirs, ses attentes, ce qu’elle ressentait à ce moment précis...
Sans un mot, il s’agenouilla et écarta les jambes de Morgane sans pudeur pour pouvoir plonger sa langue dans l’intimité de cette dernière et glisser ses doigts au fond de sa fente, tout en effleurant le petit bourgeon qui semblait lui donner tant de plaisir.
Un puis deux puis plusieurs soupirs s’échappèrent de la bouche de cette dernière lui indiquant le fait qu’il ne s’était pas trompé.
Morgane jouit dans un grand râle et devant un inconnu qui rentrait chez lui sans se préoccuper des gens qu’il rencontrait, puis eut un large sourire avant de plaquer sa bouche sur la bouche de Pierre, laquelle était encore trempée du plaisir de cette dernière.
Elle récupéra le tout de sa langue habile, lavant le visage de Pierre, toujours entièrement nue sur la petite place du village..
C’était maintenant à son tour de jouer car, elle aussi, connaissait par cœur les attentes de Pierre, ce qu’il aimait et ce qui le ferait jouir rapidement…
La cour était bien ensoleillée et comportait plusieurs voitures dont certaines étaient en piteux état…
« Nous voilà arrivés, s’exclama notre chauffeur. Descendez et attendez à genoux devant la vieille Pontiac rouge. »
Il partit parquer notre voiture alors que les grilles se refermaient derrière nous…
Un homme d’une 20aines d’années vint vers nous, bien bâti, avec comme seul vêtement un short plutôt court. Il l’enleva en arrivant près de nous, laissant surgir un sexe plutôt large et surtout assez long. Il bandait déjà fort !
Cécilia était à côté de moi, les genoux dans le gravillon sablonneux, nue comme un vers et apparemment ne savait pas plus que moi ce à quoi nous devions nous attendre.
« nous on est là pour voir un spectacle de salopes et on veut vous baiser à la queue leuleu jusqu’à ce que l’on en puisse plus. On nous a dit beaucoup de bien sur vous alors la première qui nous déçoit va s’en prendre plein la gueule… »
« Partagez vos langues et doigtez-vous, on veut voir du sexe Mesdames » gueula celui du fond qui s’était également déshabillé et se branlait.
Cécilia tremblait légèrement et sursauta quand le premier homme a commencé à glisser sa langue dans sa bouche tout en enfonçant plusieurs de ses doigts dans sa chatte toujours aussi ouverte …
La relevant, il la dominait et en profita pour faire passer sa salive de sa bouche à la sienne, tout en lui crachant plusieurs fois sur le visage et les yeux…
Sa tête étant maintenant gluante de sa salive, il fallait augmenter la tension et monter en puissance pour faire plaisir à tous ces hommes… C’est donc mon sexe qui se posa sur la bouche ouverte de Cécilia laquelle n’eut pas d’autres possibilités que d’avaler ce dernier et le lécher tout en essayant de respirer à la fois…
Ses genoux labouraient le gravier et commençaient à saigner quelque peu, la faisant pleurer doucement…
Cela ne faisait que commencer…. Et il n’était que 11 heures du matin !!!
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